Séquestration du carbone
Selon le scénario « Développement durable » de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) pour 2040, la séquestration du carbone – autrement dit le captage et le stockage de CO2 – peut participer à hauteur de 7 % à la réduction des émissions de gaz carbonique.
Cela représenterait 2,3 milliards de tonnes de dioxyde de carbone captées dans l’atmosphère et stockées.
Une prévision qu’il convient de comparer aux 30 millions de tonnes déjà captées chaque année par la vingtaine de sites en activité à l’échelle industrielle.
De nouvelles technologies de séquestration ont depuis été mises au point.
L’enjeu étant de capter massivement les émissions de CO2 émises notamment en Europe par les cimenteries, sidérurgies, installations chimiques et autres industries très gourmandes en énergie.